Call of Duty 4 : Modern Warfare

La Seconde Guerre Mondiale c’est fini, promis juré, place maintenant à la guerre moderne, celle qui se passe de nos jours avec des armes fiables et précises. Pas d’histoire réelle comme dans les anciens épisodes, non, ce Call of Duty sort des sentiers rabattus de la Seconde Guerre Mondiale. Et plutôt que de copier un triste conflit de ces dernières années (en gros l’Irak, l’Afghanistan ou la Yougoslavie), Infinity Ward a décidé de s’entourer de scénaristes venus de la télévision pour imaginer une guerre complexe permettant de jouer plusieurs camps et d’avoir des méchants communistes. Faisons simple, un ancien mercenaire soviétique du nom de Zacka a décidé de s’emparer de la Russie. Mais il se heurte à une forte résistance intérieure et une guerre civile éclate dans le pays de Poutine, entraînant le Moyen-Orient, les Etats-Unis et l’Angleterre dans l’histoire. C’est donc dans la peau des anglais et des américains qu’on va gambader sous le plomb Russe et arabe, dans des décors divers et variés. Prise d’assaut d’un cargo pendant une tempête, combats urbains dans une ville aux couleurs rappelant Bagdad, batifolage dans ce qui semblait de la Toundra, bref des environnements qui changent un peu des plages normandes, des Cévennes boueuses et du Moscou des années 43…

Que faut-il attendre de cette version Guerre Moderne de Call of Duty ? Et bien tout simplement du Call of Duty. Pas de révolution de gameplay avec des véhicules à gogo, un multijoueurs étoffé et un gameplay émergent. Non, ici on garde la recette qui fonctionne depuis le tout premier épisode de la série : de l’action, de l’action, de l’action et des scripts. On débarque toujours dans un niveau avec son fusil et trois troufions et on plonge dans un déluge d’action digne des meilleurs films de guerre. Durant les quelques minutes de jeu qui nous ont été montrées nous avons pu assister tour à tour à l’assaut d’une ville du Moyen Orient avec une dizaine d’hélicoptères, d’une mission d’infiltration d’un cargo suspect avec les SAS britanniques, de la traversée mouvementée d’une ville avec une dizaine de gars. Dans toutes les situations, on sentait bien qu’on avait affaire à un Call of Duty : les balles qui frôlent le joueur, les alliés qui crient et courent se mettre à couvert, les grenades qui explosent, les ennemis qui commencent à canarder des fenêtres tout le groupe pile au moment où l’on entre dans une cour, bref, pas un moment de répit ou presque. La petite nouveauté dans l’histoire, c’est bien la transposition dans l’époque moderne de ce Call of Duty. Ca se traduit par des armes modernes avec un zoom intégré, des lance-roquettes bardés d’électronique, mais en aucun cas des armes plus précises. De ce que nous avons pu voir, il fallait déverser un chargeur entier dans un couloir pour abattre deux ennemis. Et on jouait bien entendu à la version Xbox 360, avec l’aide à la visée. Mais, de fait l’ambiance est toujours bien présente : stress, action et héroïsme, les trois mamelles de la série sont toujours au rendez-vous.

Z!dd0 a écrit:MA config:
AMD Athlon 64 X2 Dual Core 4800+
Geforce 8800 GTS 640Mo
2Go de RAM

ça tourne au max sans lag ^^

tu vas mm pouvoir jouer a crysis....